Faits Divers
Victoria Mehault : agressée sur les réseaux sociaux, elle réplique avec un ton fort !

Depuis son passage à l’Élysée où elle a évoqué les violences faites aux femmes avec Marlène Schiappa, Victoria Mehault croule sous les insultes. Lassée de ces menaces, la jeune femme vient de prendre une grande décision. JIENN vous dit tout de A à Z.
Fraîchement séparée de Bastos, Victoria Mehault se consacre pleinement à sa vie professionnelle. Depuis quelques semaines, la candidate des Marseillais déborde de projets. Ce jeudi 9 décembre, la jolie blonde s’est rendue à l’Élysée en compagnie de Isabeau, Maïssane, Neverly, Léna et de leur agent, Magali Berdah. Le groupe s’est entretenu avec Marlène Schiappa, l’actuelle ministre de la Citoyenneté au sujet des violences faites aux femmes.
Mais depuis cet événement, Victoria Mehault est la cible de nombreuses attaques. Excédée par la virulence de certaines critiques, elle a été contrainte de faire un choix radical.
Plus de messages privés
Victoria Mehault regrette-t-elle sa visite à l’Élysée ? Quelques jours après cette grande journée, la candidate de télé-réalité travaille sur son vlog. Très fière d’avoir été choisie pour informer et briser le tabou des violences sexuelles, la jolie blonde s’applique à retranscrire au mieux cet entretien. Hélas, elle doit composer avec les insultes de certains internautes. Afin de ne pas « se défenestrer », l’influenceuse ne veut plus ouvrir ses DM. Si elle tient à remercier ses fans pour les gentils messages qu’ils peuvent lui envoyer, elle précise qu’elle ne veut plus s’attarder sur le contenu négatif envoyé par un nombre croissant de personnes.
Gros clash avec Haneia Maurer
Victoria Mehault n’est pas connue pour avoir la langue dans sa poche. Lors d’une récente vidéo YouTube, la candidate de télé-réalité n’a ainsi pas hésité à mettre les choses au clair avec Haneia Maurer. Lassée des critiques de cette dernière, la jolie blonde l’a traitée de « vieille peau » qui « ouvre toujours sa gu**** ». Furieuse, la candidate des Marseillais à Tulum a bien sûr aussitôt attaqué la jolie blonde de manière assez peu élégante en la traitant de « Barbie capricieuse ». La hache de guerre est donc loin d’être enterrée entre les deux jeunes femmes.

Faits Divers
Agression de Margaux Pinot : Alain Schmitt dévoile les faits dans TPMP

Relaxé par la justice après avoir été accusé de violences conjugales sur sa compagne, Alain Schmitt était l’invité de Touche pas à mon poste ce mercredi soir. L’ancien judoka s’est défendu et a livré sa version des faits. On vous en parle plus.
Alain Schmitt et Margaux Pinot continuent de se faire la guerre par médias interposés. Après la révélation de nouveaux éléments dans la presse, l’ancien judoka est sorti du silence, ce mercredi, sur le plateau de Touche pas à mon poste. Devant Cyril Hanouna et ses chroniqueurs, il est revenu sur les faits qui lui sont reprochés, des accusations qu’il réfute complètement.
« Elle est entrée dans une rage folle »
En pleine tourmente, Alain Schmitt a une nouvelle fois détaillé le déroulé de cette soirée de l’horreur. Il a tout d’abord tenu à mettre les choses au clair sur sa prétendue alcoolisation au moment des faits. « Ce soir-là, j’ai fait un pot de départ et j’ai bu quatre bières. J’étais assez bien pour discuter », a-t-il déclaré tout en précisant qu’il avait « conscience de tout ». C’est ensuite que tout a basculé. Arrivé en retard, il se serait pris les foudres de Margaux Pinot qui, vraisemblablement, aurait été « énervée » par son comportement. « Elle commençait à marmonner des choses dans le lit puis a commencé à entrer dans une rage folle », a-t-il assuré face aux chroniqueurs.
L’ancien judoka, qui devait se rendre en Israël, aurait ensuite pris ses affaires pour partir et lui aurait lancé un pique, une attaque qu’elle n’aurait pas du tout appréciée. « Elle m’a chopé par le col. Je ne pouvais plus rien contenir, ça criait très fort. Ça partait dans tous les sens. On s’est cognés la tête, on est tombés à genoux. C’était interminable », a-t-il déclaré. Catégorique comme toujours depuis le début de cette affaire, il a une nouvelle fois réfuté les accusations portées à son encontre. « Elle n’a jamais pris un coup et je n’ai jamais essayé de l’étranger. Elle est très difficile à contenir », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « Elle se bat. Je me défends, je suis innocent ».
« Que justice soit faite »
Pour rappel, l’ancien judoka avait été convoqué devant le tribunal de Bobigny en comparution immédiate, le 30 novembre dernier, puis relaxé. Le parquet avait immédiatement répliqué et annoncé son intention de faire appel du jugement. Depuis, l’ancien judoka ne cesse de se défendre et dénonce le « lynchage médiatique » dont il s’estime être la cible.
De son côté, la championne olympique a tenu à adresser un mot, ce mercredi, à ses soutiens. « J’adresse mes sincères remerciements à toutes ces personnes qui ont su m’apporter tant de compassion quand j’en avais besoin. L’heure est arrivée maintenant de prendre du temps, de me reconstruire et d’avancer », a-t-elle écrit sur son compte LinkedIn tout en assurant qu’elle continuera à se battre « pour que justice soit faite » malgré des semaines « qui s’annoncent difficiles et intenses ».
Faits Divers
Judo : la championne margaux pinot accuse l’entraîneur alain schmitt de violences conjugales

La championne olympique de judo Margaux Pinot a publié un message sur le réseau social Twitter dans lequel elle accuse Alain Schmitt, son compagnon et entraîneur, de violences conjugales. Jugé en comparution immédiate mardi, ce dernier a pu bénéficier d’une relaxe, mais le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a annoncé ce mercredi 1er décembre faire appel de cette décision.
Les deux protagonistes pourraient, chacun de leur côté, tenir un point presse ce jeudi.
La sportive accuse son compagnon et entraîneur de lui avoir asséné des coups, mais aussi tiré les cheveux et tenté de l’étrangler lors d’une altercation dans son appartement.
Ses appels au secours avaient alerté certains voisins, chez qui elle avait trouvé refuge avant l’arrivée de la police. Souffrant d’ecchymoses et d’une fracture au nez, elle s’est vue prescrire dix jours d’ITT.
L’audience de ce mardi avait été marquée par des versions différentes. Alain Schmitt a livré le récit d’une bagarre aux «allures de tornade entre deux amants à la relation tempétueuse».
De son côté, Margaux Pinot avait décrit sa peur face aux coups de poing qu’elle recevait. «Ce n’était pas un combat de judo, c’était des coups de poing», avait assuré la championne olympique.
«J’ai jamais frappé une femme de ma vie, c’est n’importe quoi», avait rétorqué Alain Schmitt, le visage marqué par des contusions.
Lors du procès, le ministère public avait dénoncé «des violences très graves, même pour un primo-délinquant», de la part d’Alain Schmitt et avait requis à un an de prison avec sursis à son encontre. Mais tard dans soirée, le tribunal l’avait relaxé, estimant ne pas avoir «suffisament d’éléments» pour le condamner.
Une vague de soutiens
La judokate a reçu un grand nombre de messages de soutiens. Sur son compte Twitter, son homologue, la championne du monde clarisse Agbegnenou, n’a pas caché son indignation, notamment quant à la décision de la justice. «Que faut-il pour que les sanctions tombent, la mort ?», pouvait-on lire sur ses réseaux sociaux.